Ouiiii, encore un jeu de mots avec "fée", on ne s'arrêtera jamais, c'est notre marque de fabrique et ça nous fée marrer.
Jeu de mots toujours dans l'affiche que vous avez pu voir aux abords du centre-ville et qu'on vous remet ci-après parce qu'on kiffe.
Ah oui et puis on voulait vous dire merci de votre enthousiasme à lire le magazine et à nous suivre sur le blog et sur féecebook, c'est ce qui nous aiguille pour vous faire partager notre ville sous toutes les facettes du diamant qu'elle est.
Dans ce numéro sept, la fée vous raconte la rue Saint-Nicolas. Ah bon, vous ne connaissez pas bien ? Alors suivez le guide et aventurez-vous de l'autre côté de la passerelle... Pour le meilleur.
Et si l'été se termine, le soleil continue de briller dans les têtes quelle que soit la météo avec un agenda culturel bien étof-fée, une sélection subjective comme d'hab, laissez-vous simplement enchanter !
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Direction de la publication et rédac’chefElisabeth Schwartz Développement web : NIOUNicolas Pillon Graphisme et illustrationsKristof Guilloteau |
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PhotoMarie Monteiro
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Au Goût du Jour, donc, Anthony assume son chauvinisme. Sa devise : « Pourquoi aller chercher loin ce qu’on a de bon tout près ? ». Dans son resto aux poutres apparentes et pierres, avec une cheminée pour l’hiver, on mange selon le calendrier une cuisine simple, des plats de maman avec des produits locaux.
Même histoire de convictions et de goût au Prao, récemment ouvert, avec un décor haut sous plafond et un lustre impressionnant, mais pas autant que l’assiette, copieuse et savoureuse.
On appelle souvent la place de la Fourche place de la Solette, du nom du petit restaurant à la maxi-terrasse. Mais ne zappez pas quand les températures se rafraîchiront, à l’intérieur les deux étages sont cosy et l’humeur joyeuse participe au régal général.
Chez Galette Magic, service en continu de 12h à 20h. Youpi pour le goûter, des jeux de société sur les tables, un mur à écrire international, du caramel et du chocolat faits maison, et du cidre de l’Aiguillon-sur-Mer.
A l’heure du thé, on aime aussi Little London et l’humour british de Simon. Testez absolument le carrot-cake, l’un des meilleurs que la fée ait mangé dans sa life, à moins que vous ne préfériez trempouiller un scone dans votre tea ? Ou un flapjack ? Pour le lunch, les sandwiches parlent à vos papilles, et ce même si vous ne speakez pas english !
L’autre resto de la rue qui nous fait voyager en Europe aurait pu s’appeler Little Italy. Chez Ragazzi da Peppone, qui fait aussi épicerie, il ne manque que Monica Bellucci pour avoir le meilleur de l’Italie.
En face, au Comptoir de Walter, on se délecte des jeux de mots avec le nom du patron qui s’appelle vraiment Walter, mais surtout d’assiettes composées à l’envi.
Pas d’accent américain à la Fabrique à Burgers, mais pour autour de 10 euros, des burgers délicieux et inventifs, tandis que le Rif peut se prévaloir des éloges chaleureux d’amateurs de kebabs sur internet. Fast-food oui, mais de qualité !
Ouvert seulement le soir, Le Bonheur est dans le Pré nous ramène en France, esprit Sud-Ouest et ambiance débonnaire. Plus loin, sur la place de la Motte-Rouge, on manie les baguettes chez Sushi Atlantique.
On pourrait appeler la rue Saint-Nicolas la rue de la Soif, car d’un bout à l’autre, il y a le choix pour s’hydrater le gosier.
Frédéric rachète l’institutionnelle Guignette en 1994 et la pérennise avec son apéritif « La Guignette » à base de vin et d’infusions de fruits : fruits rouges, pomme ou agrumes, à consommer sur place ou à emporter. On peut aussi y boire un café sur le tonneau, un verre de vin pas cher ou un demi. Un incontournable.
Sur la place de la Fourche, La Calhutte paraît bien accueillante et cosy avec son intérieur bois et son canapé XL, à retenir pour l’heure de l’apéro. Les étudiants prisent la spécialité du bar, la Jacqueline, vin blanc-limonade-sirop au choix, servie avec du pop-corn.
Ah, La Java des Paluches ! Dix ans de pulsations de la fiesta rochelaise grâce à une association de bienfaiteurs qui ont décidé de passer la main pour se reposer, ils l’ont bien mérité ! C’est la fringante Alicia qui a repris le bar avec deux associés, à peine une semaine de travaux et c’était reparti ! La fée n’a pas eu le temps d’y aller depuis la réouverture le 8 août dernier, mais l’humeur semble très communautaire, à base de bœuf-party deux fois par semaine, avec des instruments de musique à disposition, des expos et à l’apéro du fromage bio et de la charcuterie de qualité. Et toujours un grain de folie qui fait « l’esprit Java ».
A côté, le Général Humbert, pub irlandais tenu par deux frangins sympas fondus d’Irlande, permet aux fumeurs de s’intoxiquer au chaud sans déranger le quartier avec un impressionnant fumoir. Plus loin, c’est la bière belge qui est à l’honneur au Troll Pub, mais on y trouve aussi une bière brassée à Périgny, la Cuvée des Chateliers.
Plutôt vin que bière ? Le Garde-Robe Saint-Nicolas vient juste d'ouvrir. Pile, une cave à emporter. Face, un bar à vins à déguster sur place avec bientôt, charcuterie et huîtres. Et pas mal de références bio. On va se hâter de découvrir tout ça, pas vous ?
Hé, mais on a failli passer à côté du Scat, résumé par le patron en quelques mots : « Ici, on fée n’importe quoi – ndlr : c’est lui qui a fait le jeu de mots – avec du funk en bande-son. » Tout un programme…
Et nous voici arrivés place de la Motte-Rouge, avec deux bars parmi les plus vieux de La Rochelle. Aujourd’hui les fans de rugby se retrouvent à La Renommée auprès de Christelle, mais on peut aussi y savourer son café en terrasse et au soleil. A l’Etoile du Marin, on accompagne son verre de vin d’huîtres ou de préfou, et on y pense aussi pour la petite formule du midi…
Trois bars séculaires : La paye des marins-pêcheurs se faisait à La Renommée, à l’Etoile du Marin et au Café du Nord, au Gabut.
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