Edito

 

Fée bon rentrer quand on habite à La Rochelle !

 

Ouiiii, encore un jeu de mots avec "fée", on ne s'arrêtera jamais, c'est notre marque de fabrique et ça nous fée marrer.

Jeu de mots toujours dans l'affiche que vous avez pu voir aux abords du centre-ville et qu'on vous remet ci-après parce qu'on kiffe.

Ah oui et puis on voulait vous dire merci de votre enthousiasme à lire le magazine et à nous suivre sur le blog et sur féecebook, c'est ce qui nous aiguille pour vous faire partager notre ville sous toutes les facettes du diamant qu'elle est.

Dans ce numéro sept, la fée vous raconte la rue Saint-Nicolas. Ah bon, vous ne connaissez pas bien ? Alors suivez le guide et aventurez-vous de l'autre côté de la passerelle... Pour le meilleur.

Et si l'été se termine, le soleil continue de briller dans les têtes quelle que soit la météo avec un agenda culturel bien étof-fée, une sélection subjective comme d'hab, laissez-vous simplement enchanter !

 

Féériquement vôtre !

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Agenda : La Fée Son show

La Fée sa rentrée culturelle !

L'été a du plomb dans l'aile...mais la rentrée fait déjà sautiller la Fée ! Un conseil avant de lire les lignes suivantes : munissez-vous d'un agenda, d'un stylo et... picorez !

Sommaire

Lubrique : La Fée Fesse

La fée préférée des garçons...

Ah ah, celle-ci, c’est l’une des premières qui viennent à l’esprit dans la série « fée tes jeux de mots ». La bonne blague. N’empêche, on a souvent la fée Lation sur le bout de la langue... Alors parlons-en..

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Crédits

 

Ils l’ont Fée…

Merci à toutes celles et ceux qui ont donné un coup de baguette magique à ce numéro 7.

Direction de la publication et rédac’chef

Elisabeth Schwartz

Développement web : NIOU

Nicolas Pillon
Charles Chauvin
Pierre Rivalin

Graphisme et illustrations

Kristof Guilloteau


Rédaction

Vincent Ader
Mathilda Verron
Gomar
Pipelette Papillon
Ursula Undress
Elisabeth Schwartz

Photo

Marie Monteiro
Pascal Bernard Gecko Production
Taï-Nui

 

 

Pour nous écrire : lafee@la-fee.fr
Pour connaître nos tarifs pub super compétitifs avec plein d’avantages : pub@la-fee.fr La Fée est développée par NIOU en utilisant le CMS Netizi. Merci à IRO pour l’impression des flyers, que vous pouvez télécharger ici.

 

Pas condamnée à couper !

Les astuces et produits des pros pour sauver sa tignasse après l’été.

Texte Pipelette Papillon

Aaah voilà, on a fait sa sirène tous ces beaux jours, et hop que je plonge dans l’eau salée ou chlorée, un peu de vent là-dessus, et des UV… L’effet « retour de plage » c’est sexy en tongs, mais une fois de retour à la vie normale, c’est moins glam. Heureusement, les coiffeurs rochelais ont les soins qui vont bien. La fée les a questionnés.

Dans la rue Saint-Nicolas qui est donc le fil directeur de ce numéro vous ne serez pas passé(e)s à côté, il y a deux salons.

Au Zoom, Laetitia rigole quand je lui demande ses astuces « maison ». « De l’huile d’olive, du citron, du gros sel… Les remèdes de grand-mère pour les cheveux, mouais…, c’est l’enfer ! » Elle est assez catégorique dans un premier temps : « Sur des cheveux cramés, le soin c’est… les ciseaux ! » Mais avant cela, Davines, une jolie marque de soins capillaires vers qui elle s’est tournée récemment, lui a promis de bons résultats avec le « soin de la dernière chance », prodigué en salon, qui coûte entre 30 et 100 € selon l’état du cheveu. Cependant, au moment où ces lignes sont écrites, Laetitia n’avait pas encore testé. En discutant avec elle, on en a appris de belles sur des croyances ou des gestes erronés que l’on fait subir à nos cheveux. « Comme de mettre de l’huile sur ses cheveux avant d’aller à la plage, avec la chaleur, ça cuit. Pour nourrir le soir, oui, mais pas comme protection ! » Bon alors on met quoi ? « Du soin après-shampoing, en petite quantité, et sans rincer. » La fée a essayé sur cheveux essorés, et l’effet est bluffant, les cheveux sont doux, sentent bons, font des boucles… « Vous pouvez essayer aussi la crème Nivea en guise de cire, n’hésitez pas à détourner les produits, ne faites pas tout « comme c’est écrit » ! »

Davines

Chantal, 45 ans de métier, est installée avec son salon Styl’in depuis trois décennies dans la rue Saint-Nicolas, et travaille depuis toutes ces années avec les laboratoires Wella. « J’ai tout essayé, Français, Américain… Pas trouvé mieux que les Allemands ! Ils sont bons dans l’automobile, dans l’électroménager… C’est pareil en chimie ! » Allez quoi, Chantal, un petit truc de mamie ? « On peut faire des mélanges jaune d’œuf et huile d’olive, mais ça ne suffit pas. Il y a aussi le brûlage à la bougie, qui élimine les fourches sans avoir besoin de couper, mais je vais avoir l’air d’un dinosaure si je dis ça ! » Et nous, on risque de sentir le cochon brûlé… Ca se tente, mais pour sa part la fée s’en tiendra aux masques, huiles et sérums pour les pointes en écoutant les conseils et techniques d’application de Chantal.

Wella

Bon, deux coiffeuses de générations différentes, c’est bien, mais on veut plus d’infos ! Quai Maubec, chez Victor Victoria, l’on attire mon attention sur la différence entre hydratation, nutrition, et réparation. Le raisonnement du responsable du salon est imparable : « Si les marques de soins capillaires – ici Redsken - sortent autant de références, c’est que tout le monde a un besoin précis, selon que l’on a les cheveux abîmés, secs, colorés, naturels, fins, épais. On regarde avant tout l’élasticité et la porosité du cheveu et on n’apporte pas la même réponse. » Une comparaison avec le bâtiment me fait comprendre la différence entre nutrition et réparation : « C’est comme un mur, s’il manque des briques, on aura beau remettre de l’enduit, ça ne pourra pas marcher. » Bref, le mieux est de faire diagnostiquer l’état de son cheveu et de faire confiance au pro.

 

Orofluido

Aux Boucles d’Inès, rue Amelot, Malika tient le même discours, si ce n’est qu’elle préconise avant tout de couper ! « Pour redonner un peu de force aux cheveux. » En discutant avec tous ces coiffeurs, je retiens un principe auquel je ne pensais pas forcément : les cheveux c’est comme la peau, il y en a une multiplicité de types avec des besoins particuliers. Alors on écoute sa fibre capillaire et on confie nos cheveux aux experts, coiffeurs et produits. Malika constate sur les cheveux de ses clientes les méfaits des silicones dont sont gorgés nos shampoings de supermarché. Elle privilégie des produits ciblés, dont elle recommande un usage vraiment adapté : « Par exemple le « Pro-Keratin Refill » de L’Oréal, je le conseille seulement aux cheveux épais et en cure d’un mois car c’est costaud. » Pour permettre au soin de bien pénétrer le cheveu, Malika utilise l’Hair Spa, un casque qui diffuse une vapeur d’eau minérale. En finition, trois gouttes d’Orofluido, un « élixir de beauté » aux huiles d’argan, de chypre et de lin, dont le parfum ambré est juste divin !

 

Célyne aussi, au Salon, rue Chef-de-Ville considère les cheveux dans toutes leurs spécificités propres à chacune. Comme la peau, donc. « On établit des protocoles de soins, comme chez l’esthéticienne. » Les arguments de la gamme Davines l’emballent depuis longtemps, et nous avec : des produits naturels, sans parabens ni sulfates, une charte éco-responsable, et une haute qualité. C’est l’une des premières marques à proposer un peeling du cuir chevelu. Bah oui on n’y pense pas, mais pourtant, une à deux fois par an, l’effet détox pour nos cuirs gavés de silicones s’accompagne d’une sensation de bien-être et de légèreté. La marque propose aussi des soins pour cheveux vieillissants à l’acide hyaluronique, et des soins de restructuration de la fibre capillaire en fonction du type de cheveu, bien sûr. Tout cela se fait au Salon, comptez environ 1 heure, vos cheveux vous remercieront. Célyne donne aussi ses p’tits traitements à faire à la maison : par exemple des bains d’huile à laisser poser toute une nuit. Ou un masque adapté à appliquer sur des cheveux bien essorés, en tartinant bien longueurs et pointes mais en évitant les racines. L’astuce : envelopper les cheveux dans une serviette, et laisser agir un bon quart d’heure. En profiter pour faire… rien ! (conseil de la coiffeuse, à suivre !) Rincer ensuite à l’eau tiède, en finissant par de l’eau froide pour refermer les écailles et rendre les cheveux brillants, « mais pas d’eau froide sur le cuir chevelu, car le choc thermique peut activer les glandes sébacées et rendre les cheveux gras. » Et en entretien, une goutte d’huile sur les longueurs et pointes « pour hydrater et protéger de la pollution, comme une crème de jour ! »

Studio 17 Coiffure est à deux pas du marché, rue du Cordouan. Est-ce cette proximité qui a donné l’idée à Didier d’élaborer des soins glacés à base de fruits pour les cheveux ? Un rituel de beauté mis en place avec le concours de la maison D’Jolly, glacier chocolatier pâtissier à La Rochelle, et une première ! Par grosse chaleur, vive l’effet rafraîchissant de ces soins glacés, et jusqu’à fin octobre, on profite des bienfaits du froid pour les écailles des cheveux, chouchoutés en accompagnement avec la gamme de produits Biolage de la marque Matrix. Là encore, à chaque type capillaire son soin : le citron donne de la brillance et de l’éclat, l’avocat nourrit les cheveux secs et abîmés, et le lait de coco cajole les cheveux fins et cassants.

soins glacés à base de fruits

En synthèse, prenez soin de vos cheveux comme de votre visage, utilisez un soin de qualité adapté à leur état spécifique, et n’hésitez pas à passer par la case « salon de coiffure » pour une heure rien qu’à vous et surtout, parce que les pros des cheveux, ce sont eux !