Ouiiii, encore un jeu de mots avec "fée", on ne s'arrêtera jamais, c'est notre marque de fabrique et ça nous fée marrer.
Jeu de mots toujours dans l'affiche que vous avez pu voir aux abords du centre-ville et qu'on vous remet ci-après parce qu'on kiffe.
Ah oui et puis on voulait vous dire merci de votre enthousiasme à lire le magazine et à nous suivre sur le blog et sur féecebook, c'est ce qui nous aiguille pour vous faire partager notre ville sous toutes les facettes du diamant qu'elle est.
Dans ce numéro sept, la fée vous raconte la rue Saint-Nicolas. Ah bon, vous ne connaissez pas bien ? Alors suivez le guide et aventurez-vous de l'autre côté de la passerelle... Pour le meilleur.
Et si l'été se termine, le soleil continue de briller dans les têtes quelle que soit la météo avec un agenda culturel bien étof-fée, une sélection subjective comme d'hab, laissez-vous simplement enchanter !
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Direction de la publication et rédac’chefElisabeth Schwartz Développement web : NIOUNicolas Pillon Graphisme et illustrationsKristof Guilloteau |
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PhotoMarie Monteiro
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Pour nous écrire : lafee@la-fee.fr
Pour connaître nos tarifs pub super compétitifs avec plein d’avantages : pub@la-fee.fr La Fée est développée par NIOU en utilisant le CMS Netizi. Merci à IRO pour l’impression des flyers, que vous pouvez télécharger ici.
Quelques mois avant que n’ouvre A ton Etoile en 2012, la fée avait craqué à Londres pour une marque de fringues dingues : Louche. Aussi, quelle ne fut pas sa joie en découvrant qu’Anne avait référencé la marque sur La Rochelle ! Des robes de style vintage, mais avec des petits détails qui créent les vrais coups de cœur. D’ailleurs si vous en avez un, ne réfléchissez pas trop longtemps car ici, ça tourne vite, avec seulement deux modèles par taille. Le choix est renouvelé régulièrement, et une sélection faite par la miss, ancienne styliste, donne le meilleur de Kling, de Compania Fantastica et de petites marques parisiennes pas chères. Avec quelle ligne directrice ? « De la couleur, c’est super important, j’en ai toute l’année, explique Anne. L’idée c’est que les clientes puissent se lâcher. Qu’un imprimé ou une forme nouvelle soit un petit réveil pour celle qui passe le vêtement. » Comme cette femme qui a essayé une jupe longue seulement pour voir, et a vu… qu’elle se plaisait. Les filles qui sortent des cabines ont souvent le sourire, et les garçons qui les attendent dans le fauteuil aussi. Nous voyant si jolies, sûr qu’ils ont envie de nous parer d’autres accessoires de la féminité : ceintures larges à nouer, peignes à cheveux, headbands, sacs Sabrina en cuir déclinés en tons à tomber, et bijoux créés sur place.
Et rue des Merciers, ne passez pas à côté de l’autre boutique, OWN, au numéro 63, une mode pointue et pourtant très facile à porter.
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